Je me suis intéressé au marché immobilier des États-Unis car même si depuis quelques temps les prix semblent remonter petit à petit, cela reste un bon axe d’investissement. La crise des subprimes a obligé des millions d’Américains a bradé leur bien immobilier… Les prix sont ainsi historiquement bas et nous avons l’avantage d’avoir un euro fort face au dollar.

Exemple : une maison vendue 100000 euros ne vous coûtera « que » 78000 euros.

Plusieurs agents immobiliers et sites internet se sont placés sur le filon des États-Unis et avancent des arguments qui ne laissent pas indifférents. Premièrement, grâce aux prix bas les personnes souhaitant effectuer de la location pourront obtenir de bonnes rentabilités (7 à 8%). On trouve par exemple des maisons à moins de 100000 euros avec 3 chambres 3 salles de bain, 2 grands garages… C’est un exemple classique et la rentabilité promise est autour de 8%. C’est autour de ce que j’avais failli avoir en achetant un appartement dans ma ville.

La situation commence à s’améliorer, les banques recommencent à prêter de façon plus importante et le marché immobilier des États-Unis remonte et les biens vont se valoriser avec le temps. Maintenant attention aux démarches liées à l’acquisition qui sont bien différentes entre la France et les États-Unis.

Voici une liste des points importants :

– L’acquéreur doit signer un accord avec un agent immobilier qui le représentera dans ses recherches. C’est le « buyer’s agreement ».

– Les négociations ont lieu entre les deux parties assistées de leur avocat. Les documents à produire sont complexes (contrat d’acquisition, le closing qui met un terme aux discussions).

Lisez aussi :  Promoteur immobilier : comment réaliser une opération de promotion immobilière ?

– Les revenus locatifs obtenus seront à déclarer fiscalement car il y a un « French-US Tax Treaty. De plus, un impôt de 30% sera prélevé à la source sur les revenus locatifs nets mais sera déductible de l’impôt sur le revenu en France.

– Pour un particulier, la taxation des plus-values en cas de revente se situe entre 10 et 20%. Cependant, elle peut-être exonérée si l’argent est réinvesti.

Où acheter aux États-Unis ?

Tout dépend de l’objectif visé. Si vous souhaitez acheter sans louer, libre à vous de choisir un coin qui vous plaît et où les prix sont dans la norme. Si les moyens sont là, vous pouvez consulter de magnifiques appartements: comme celui ci-dessous à Manhattan.

Vue du salon sur Central Park

Avec vue sur Central Park

Intérieur appartement New-York

Maintenant si vous souhaitez faire de l’immobilier locatif alors les grandes villes sont à privilégier. On peut citer Las Vegas, Miami ou encore New York.

Pour ce dernier cas, le marché y est plus stable qu’ailleurs, la location y revient bien moins chère que l’achat à l’inverse de Las Vegas par exemple. C’est donc un bon point pour les investisseurs qui auront moins de mal à trouver des locataires à condition bien sûr que le bien ne soit pas trop excentré !

Pour toute recherche de biens immobiliers sur New York et Miami, je vous invite à visiter le site du sponsor de cet article : http://manhattanmiami.com/fr/

 

Pour finir cet article, je voudrai faire une ouverture sur une autre opportunité qui peut-être intéressante : le marché immobilier espagnol où les prix ont également dégringolés !

3.7/5 - (3 votes)